Poèmes liés à Mascarade

Si l’est une erreur que j’ai commise
C’est avec cette noble Dame.
Je n’y ai vu que de la Hantise,
Alors qu’il n’y avait que charme.

Mais qui suis-je pour avoir jugé ?
Comment me faire pardonner ?
Une dette n’est que la partie visible
Car je m’offre à vous telle la promise.

Le Majestueux vous remercie.
La Rose grâce à vous fleurit.
Bientôt il sera de retour.
Et de nouveau il y aura belle Cour.

Je ne peux que m’incliner
Devant cette puissante lucidité
Que je n’ai point su percevoir.
Mais qui irradie pour votre Gloire.

Je n’ai su discerner ce qui se tramait.
Je n’ai su comprendre ce qui se jouait.
Je ne peux qu’espérer votre pardon
En m’inclinant sous votre nom :

Dame Victoire

Petite obole à votre Reconnaissance…


Alors que le temps d’Amérovane ressurgit,
Sa Grâce vous a officialisé.
Sans contexte est votre hégémonie
Et nul autre ne peut vous le voler.

Il est un cadeau que la Rose veut offrir,
Et ainsi le statut pouvoir refleurir.
Le Sieur Poussière pour votre bon plaisir
Sera dès ce soir votre chansonnier, selon votre désir.

La Rose souhaite ainsi égayer ses soirées.
Montrer que l’Art n’est point mort
Et que la Praxis ne s’endort
Que pour mieux resplendir à vos côtés.

Ainsi dans toute la Francie,
L’Art va ressurgir dans nos belles cours.
Et Angers ne sera point occis
Car la Rose va jouer de ses atours.

Point de politique, seul le désir de stabilité
Car le Consul est bien loin de divaguer.
Lorsque l’Art doit régner
Nos nous devons de l’honorer.

Demande poétique…Demande politique…


La Satyre étant un moyen ludique
De rire sans pour autant être cynique
Je demande que l’Elyséum
Reçoive des brèves durant votre continuum

Rire de nous, rire de tout.
Tel est le désir de la Harpie.
Qu’elle soit princière ou altière
Cela la rendrait fort fière.

Quelques écrits bien enjoués
Pour le statut dédramatiser
Encenser les puissants
Ou Maudire les gênants.

Nulle autre prétention
Que quelques brèves de comptoir
Histoire d’égayer l’Elyséum
Tard dans la nuit, un de ces soirs.