L'affaire des bijoux italiens

Imaginez le tout en noir blanc avec juste quelques couleurs précises qui ressortent lorsque on les cite. (Dans le genre Sin City)


L'affaire des bijoux italiens


Chapitre 1 : l’affaire

C’était la fin de l’été. L’air était chaud et les températures n’avaient pas baissé depuis des semaines. J’étais assis à mon bureau depuis 8h00, à éplucher des dossiers de chiens perdu, d’héritage non mérités. Un tas de choses sans grand intérêt. Je m’ennuyais ferme et je priais celui de la haut, de bientôt me faire parvenir une affaire qui pouvait valoir le coup.
C’est à cet instant, lorsque mon l’horloge tinta 11h, que l’on frappa à ma porte. Le bon dieu m’avait il enfin entendu. Je m’installais dans mon fauteuil et rajustais mon chapeau.

- C’est ouvert !

Dis-je d’une voix engageante et rassurante.
La porte s’ouvrit et la apparut à mes yeux une créature tombée du ciel. Dieu avait vraiment du m’entendre cette fois ci. Je faillis perdre l’équilibre dans mon fauteuil lorsqu’elle eu fini d’ouvrir la porte de mon bureau.
Elle portait un de ces tailleurs gris à la mode et un large chapeau noir. Elle avait de longues jambes fines, la peau semblait douce rien qu’au jeu de lumière qui se reflétait sur sa peau. Elle avait aux pieds une paire de ces chaussures au tallons hors normes, avec une lanière de cuire qui lui cernait les chevilles.
Je du déglutir et je laissais remonter on regard vers le visage delà jeune femme. Ses cheveux roux étaient comme un feu sauvage ou brulait le pire feu des enfers. Ils reposaient sur ses épaules, tel de douces vagues sur mer un jour d’été sans vent. Elle leva les yeux vers moi. Ils étaient verts tel l’émeraude la plus pure qu’aucun bijoutier n’aurait pu se procurer sans débourser une somme si faramineuse qu’il aurait pu fermer boutique. Elle souriait de ses lèvres pulpeuses couleur rouge sang.

- Vous êtes bien l’inspecteur Spert Kappelton ?

Dit-elle d’une voix enivrante s’appuyant de façon nonchalante contre le montant de ma porte

- Oui Madame ! C’est bien moi. Que puis-je faire pour vous faire plaisir

Je rajustais mon chapeau et me réinstallait confortablement dans on fauteuil

- On dit que vous êtes le meilleur.

- Il paraît oui.

Elle se dirigea vers mon bureau d’un pas léger. A chacun de ses pas j’eu l’impression d’entendre un jeu de tambour. Ses hanches ondulaient tel un foulard lâché au vent. Elle s’installa dans le fauteuil en face de moi et crois les jambes avec la grâce d’une gazelle.

- J’ai un travail pour vous. Et si vus l’acceptez vous serrez bien payé

- Tout dépend du boulot que vous me proposez !

En vérité j’aurais fais n’importe quoi pour cette femme. Elle avait ce charme qui vous balaye les jambes dès qu’elle lève les yeux sur vous.

- Il s’agit de retrouver des bijoux

- Des bijoux ?

- Oui des bijoux. Un héritage de famille.

- Humm, ça n’as pas l’air d’être trop compliquer

C’est à cet instant qu’’elle fit un de ses sourires ravageurs ou l’on ne peu rien lui refuser.

- Vous acceptez alors ?

- Il serrait possible oui.

- Vous aurez 100 000 $ lorsque vous les aurez retrouver

- 100 000 $ ? cela doit avoir une grande valeur.

- Oh ! c’est surtout sentimental.

- Bon il ne me reste plus qu’a accepter.

- Je vous en serrais très reconnaissante ; Voici mon adresse.

Dit-elle en se levant et en se penchant au dessus de mon bureau pour griffonner sur un bout de papier ses coordonnées, ce qui me laissa entre voir une des plus douces valées que l'on peu désirer.

- Venez me voir. Je vous donnerais toutes les informations dont vous aurez besoin pour retrouver mes bijoux.

- Je passerais vous voir demain Madame.

Elle fit demi-tour et s’en alla. Le jeux de tambour résonnait a mes oreilles à ses pas et à l’ondulation de ses hanches. Elle s’arrêta et tourna la tête pour me regarder de ses grands yeux verts, sous son chapeau à larges bords.

- Merci inspecteur !

- A votre bon plaisir Madame

Elle finit par disparaître par la porte au son du tambour de ses pas.
J’avais la gorge sèche et un goût désagréable dans la bouche. Je me servis un whisky et me réinstallait dans mon fauteuil. Quelque chose me disait que toute cette histoire ne serrait pas une mince affaire.

Chaptire 2: Le début de l'enquête


Le lendemain matin je me rendis chez ma cliente. Madame Falmala Hilversun. Ce nom me disais quelque chose, mais je fuis incapable de le situer
Elle habitait dans une de ces grandes maisons de style ancien. Avec un grand jardin et une de ces fontaines qui se termine avec une marre à poisson au bout. Je montais les nombreuses marches qui menaient vers une énorme porte en pin. Je sonnais.
A peine quelques instants s’étaient écoulés que j’entendis des pas derrière la porte. Un homme apparut. Probablement le majordome vu sa tenu et son pincé.

- Que puis-je pour vous monsieur ?

- Je suis l’inspecteur Spert Kappelton. Je devais passer voir Madame Hilversun pour parler d’une affaire.

- Veuillez entrer. Je vais la querir.

L’entrée de la maison était décorée avec goût et beaucoup de lux. Le carrelage au sol, formait des dessins complexes et les tableaux aux mures représentaient des grandes personnes, dont une me figea. Ernesto SpellWater, de son surnom Chocoboy a cause de son teint toujours bronzé. Un des plus grand mafieux de la région. Ais que faisait donc son portrait dans cette maison ? Je n’eu pas le tems de terminer mes réflexions qu’elle apparut au sommet de l’escalier en face de moi. Elle était renversante dans a longue robe e velours rouge, au décolleté interminable. Elle la portait tel une seconde peau et chaque courbe pourait se deviner sous le tissu.
Tout à coup il fit chaud, très chaud. Je sorti mon mouchoir, retirait mon chapeau et m’épongeait mon front sec comme un désert en plein mois de juillet.
Elle défendit les marches et se dirigea vers moi encore au son de ses fameux tambours que je n’arrivait pas a faire cesser.