Bouriker

Un petit âne, du nom de Bouriker et fidèle serviteur de l'inquisiteur de la SB, était en retour de sa déclaration comme participant à une guerre, fit un détour par le S.E.X.

Messieurs, je ne vous cache pas qu'en général partout ou je passe, mon maitre repasse pour faire trépasser les gens que j'ai fait passer la ligne imaginaire de la tolérance et du calme.

Parcourant votre forum, une haute énergie littéraire me fit frémir. Je vais donc m'adapter à vis-à-vis de vos coutumes locales, et laisser mon apparat SBOLM de vieux barbare dégénéré.

Même si je vous salue et vous présente les hommages de mon maître, une idée me vient à l'esprit : Que pense le Saint Empire de mon maître.
Comme étant assez imbu de ma personne, je me suis dit que vos déclarations devraient être faites sous forme de poésie, ou de petit(s) texte(s) pouvant toucher l'intellectuel de mon moi profond. Bien sur, je ne ferai pas attention au contenu, mais au contenant. Un(e) merde bien écrit(e) et bien fait vaut toujours mieux qu'une lèche male faite.

Je salue plus particulièrement Elendil, que j'apprécie comme personne, mais dont je préfère nettement plus le potentiel de recycleurs qu'il représente. Un petit coucou à Chevalier Cain, qui a un bon esprit, et surtout une flotte à la hauteur d'Elendil.

La Bourike de passage au Saint Empire XBlast.

EDIT FANELIA : J'AI PAS PU M'EMPECHER DE TE CORRIGER LES FAUTES BOURIKE

Sans que personne ne se doute, sans que personne ne pusse entendre le moindre bruit, une silhouette sortie de l’ombre. Un homme d’une grandeur sans commune mesure et d’une puissance avoisinante le néant s’avança. Il était vêtu d’une robe rappelant les sorciers d’autre temps enfouis dans les mémoires des plus vieux sages de l’univers 5, on ne distinguait absolument pas son regard, ni même un seul des traits de son visage, si tant est qu’il y en eu un sous cette grande capuche. Seul le néant ou la vision de la mort elle-même pouvait décrire cette mystérieuse apparition.
Les oreilles de l’âne tombèrent pointes vers le sol, puis d’une voix tremblante mais non hésitante, il pris la parole.

Maître, n’êtes vous pas sur en conseille de guerre ?
Je laisse les bureaucrates aux papotages stériles, j’ai déjà mon objectif et notre général a mes instructions, de nombreuses victimes vont succomber en cette belle nuit rouge. J’ai entendu prononcer notre alliance et de surcroît on a prononcé mon rang. Je venais donc m’acquiescer des paroles émises. Mais je ne pensais pas arriver en ces lieux.

Comme vous me l’aviez demandé je me suis posé en ces lieux, où par le passé les flottes de nos alliances respectives se sont croisées.

L’inquisiteur se tourna vers Odon, ôta sa capuche pour laisser apparaître son visage. Son regard était celui du froid, aucun sentiments ne paraissaient à travers se regard si vide, aucune compassion n’était perceptible à l’image des nombreuse cicatrices, funeste témoignage de batailles sanglantes. D’une voix puissante il parla à Odon

Odon, frère de Guillaume le Conquérant, qui mieux qu’un évêque préférant guerroyer peu mieux comprendre un homme tel que moi et mon peuple. Nous ne sommes que des guerriers et ne vivons que pour la gloire de faire mordre ou de mordre la poussière. Ta lyrique n’a d’égale que ton amour pour les belles choses dont on retrouve toute ta finesse à travers la tapisserie de « Bayeux »
Je me plait a ne pas être aime, mais j’aime être apprécié.
Je n’ai aucune compassion pour ceux que je croise, mais il est certain seigneur que j’apprécie en croisant le fer. Pour moi le respect se gagne au combat et à la pointe de mon sabre. J’ai été élevé dans cette univers par les plus grand, non en me rangeant à leur coté, mais en les affrontant. Je n’ai jusqu’à présent que peu mis un genou à terre, et à chaque faux pas j’en ai tiré des leçons. Puis le temps passant, je me suis mis moi-même à affronter divers seigneurs. Capable des pires propos face aux personnes dont le neurone tel un atome gravite uniquement autour d’un noyau, mais également me hisser au niveau de tel seigneur que vous. J’aime vos discours, votre élocution, votre mode de vie, mais je suis et resterai à jamais un guerrier, qui tel un lycanthrope se transforme à la pleine, je ne peux résister à l’appel du sang et de la mort.
Cette mort que je côtoie et qui ne m’a toujours pas embrassée, arrivera un instant où elle décidera de m’envelopper et d’éteindre mon empire.
Et oui il me plairait d'entendre d'autre seigneurs du S.E.X

Et comme le disait Victor Hugo :
Guerre à la rhétorique et paix à la syntaxe

Messire Bouriker je vais essayer de faire une prose sur mes sentiments a votr égard... Je ne peux garantir le résultat final car cela sera telle la Comedia dell'Arte, fait en pure imagination sans tentative de rimes ou autres...

Citation :

S'il est un Seigneur qui m'est bien inconnu
C'est celui que l'on nomme Inquisiteur...
Mais qui se cache derrière ce personnage?
Un barbare ou un homme sage?

Car dans toute chose, il y a un fond
et c'est cela que je veux connaitre...
De son Ame pouvoir comprendre
Les signes qui le trahissent.

Car en une seule journée
Où quelques temps nous avons discuté
Un Seigneur cultivé m'est apparu
Et non un Barbare bourru.

Sans doute le style SB le guide
mais de lui je ne vois pas un pitre
Mais un Seigneur digne et courtois
Sur de sa force et de sa Loi.

Comme dirait un ami la puissance n'est rien
Sans la maitrise
Mais pour l'Inquisiteur nulle traitrise
Car il annonce et le fait bien.

Malheureusement tels certains
Il peut s'emporter
Et de tout devoir se mêler
Alors que l'on ne lui avait pas demandé.

Sans doute a force de cotoyer
Des êtres vils et ignonigneux
S'est-il laisser bafouer
Et est devenu un Barbare haineux.

Mais en fait pour le comprendre
Il faut etre comme lui, pas un tendre...
Arriver à percer son armure,
Et voir l'érudit qui au fond murmure...

Je ne suis pas le plus apte à juger
Et alors que ces vers se teminent
Sache puissant Seigneur Bouriker
Que je souhaite te connaitre de manière anodine.

Ce n'est que pour dire, que lorsque j'ai vu toutes ces belles phrase, j'ai voulu m'y essayer aussi. Donc voila mon oeuvre.

Citation :

La prose des choses qui s’expose !


Qui tente d’écrire en proses
A ses risques et périls s’expose.
Il à le choix d’y croire
Afin d’écrire son histoire.

Mais qui allons nous citer,
Pour poursuivre cet exposé ?
Un nom connu parmis tant d’autres,
Caïn serra du coup le notre.

Le regard persan et l’allure fière
Il écume tout l’univers.
A la recherche d’une rare denrée
Celle que de tout cœur, il veut épouser.

Et Elendil dans ce parcours
Que fait-il de ses atours ?
Il sonde, pille, toutes les planètes
Pour que l’alliance l’accueille en fête.

Un autre nom je dois citer !
Spert, depuis toujours Polarisé.
Un être au cœur, si grand et pur,
Contre qui on ne peu rien, c’est sa nature.

M’en viens à l’esprit un autre encore
Le grand ! le beau ! l’ultime ! Thor !
Qui de quelques paroles sait calmer
Tout un congrès survolté.

Mais qui ai-je donc pu oublier ?
Le fort, l’ultime bouriker.
Sur qui j’écris ce petit vers,
Car il est connu de l’univers.

Par qui vais-je donc finir ?
Pour que ces verres n’ai rien à redire.
Oh ! Falmala la douce, la tendre,
Vous aime tous, n’allez pas vous y méprendre.

Afin de conclure ces citations
Et pour dire que de toute façon
Si l’on arrive à écrire en proses
Qu’importe les mots, c’est la plus belle des choses.

EDIT CAIN pour les fautes !!!

MORTEL !!! Comme disent les d'jeuns.

Je ne peux que m'incliner devant ces poèmes, je suis à mille lieux de pouvoir ne serais ce que faire deux phrases équivalentes.
Je suis très touché non de part le contenu mais par les formes qui ont été mises.
Je ne peux vous répondre de manière aussi élégante, car je suis pas mal pris, et mon dernier post m’a pris deux heures…Et j’ai une grosse semaine devant moi.
Je suis ravi de pouvoir échanger avec vous, ça change de certain forum
Je repasse dès que le temps me l’accorde.

Ho lui hé...

J'avoue, Seigneur Inquisiteur, que je suis doublement flatté par votre réponse.
D'abord par le fait que vous ayez répondu.
Ensuite, par la qualité de votre réponse.
En effet, croirez vous que vous êtes le seul à avoir découvert l'origine de mon blason? Pourtant c'est le cas.
Votre référence à Guillaume tombe à point nommer. La même soif de conquête coule dans vos veines.
Je constate avec plaisir que l'érudition cotoie en vous la rudesse du guerrier, et comme disait un célèbre philosophe du XXI ème siècle DE BOUZE Jamel, ça fait plaisir.
Si le nom de mon frère a traversé les siècles pour être cité par vous, je vous souhaite le même destin.

[HRP] Rontudju, tu oses dire que tu es à mille lieues de povoir faire pareil?
Relis bien ton texte, tu verras que tu en es largement capable. J'ai été scotché et je ne savais plus quoi répondre.

A Falmala et Caïn : superbes textes tous les deux, vraiment.