Essai

Qu'il est difficile quand son aimée est loin, de ne pouvoir partager, ni même de mes lèvres goûtés au sel de sa peau.
Ne pas pouvoir respirer l'odeur de ses cheveux, ni même me délecter de son nectar sucrée;
Quand la passion envellope mes sens, me fait perdre tous contacts avec la réalitée, qu'elle dévore mon âme et raidis chaque membre de mon corps;
Comment puis-je avouer mon désir quand la distance sépare les coeurs et les corps?
Je ne peux que souffrir et vivre par procuration, je ne peux que me fondre dans ma propre frustration.

Mais il est bon de me rappeller à son souvenir, par des mots éveiller son désir,
Et quand le temps serât venut de se retrouver, alors je pourrais de nouveau m'offrir à elle,
Explorer sans détour ce corps si chaud, la voir s'ouvrir pour moi, sentir la moiteur l'envahir et de ma langue réveiller sa torpeur.
Oh douce mélodie de son être gémissant sous de furtives caresses, oh douce agonie de la petite mort qui arrive et déferle sans crier gare pour notre plus grand bonheur.


note : C'est un début, je ne sais pas trop comme celà évoluerat donc merci d'être indulgent; J'écris par passion, rien de bien structurée et surement beaucoup de faute mais bon j'espere que çà plairât à certains ou à certaines.

Le souffle court, le corps brulant , dans ces moments je ne peux que l'admirer, je la trouve resplendissante de beautée,
son regard change soudain, les yeux auparavant agard retrouvent la flamme d'une nouvelle montée de désir foudroyant,
et par le jeux de ses mains sur mon corps, de ses lèvres chaudes m'envellopant d'une douceur sans égal, je me sens vivant comme jamais je ne me suis sentit. et je me laisse aller à sa demande vers une libération puissante, me libérant de mes entraves, et oubliant un cours instant ce monde qui nous entoure.



* Suite courte...je ferais mieux la prochaine fois

Reprenant mes esprits en même temps que mon souffle court, je l'admire continuant sans relache à éveiller de nouveaux ce désir ardent qui la consume devant mes yeux,
je flatte par de douces caresses sa croupe si désirable, la laissant libre de ses gestes, et appréciant du plat de ma main la douceur exquise de sa peau.
Mais elle veut plus, et sa détermination prends le dessus sur ma tendresse relative pour que nous puissions partir dans une course haletante vers des plaisirs incommensurables.
Je sens sa chaleur m'envelopper, un douce moiteur m'envahir, et elle maitrise au ryhtme de sa respiration saccadée les montées successives de notre plaisir que l'on veut commun.



**une petite suite...........