Le recueil de l'Empire

Chapeau bas van
j aime beaucoup ...

comme je le disais au seigneur cain tout ces poemes me donne envie de faire des proses
je vous en ferais peut etre une un de ces jours

^^

Trés sympa Van

bon j ai un debut mais il me faut encore quelques vers alors vous patienterez encore un peu

et voila mon oeuvre (je l ai deja poster plus haut mais je l ai mis dans la partie de recueil)

Citation :: La prose des choses qui s’expose !

Qui tente d’écrire en proses
A ses risques et périls s’expose.
Il à le choix d’y croire
Afin d’écrire son histoire.

Mais qui allons nous citer,
Pour poursuivre cet exposé ?
Un nom connu paris tant d’autres,
Caïn serra du coup le notre.

Le regard persan et l’allure fière
Il écume tout l’univers.
A la recherche d’une rare denrée
Celle que de tout cœur, il veut épouser.

Et Elendil dans se parcourt
Que fait-il de ses atours ?
Il sonde, pille, toutes les planètes
Pour que l’alliance l’accueille en fête.

Un autre nom je dois citer !
Spert, depuis toujours Polarisé.
Un être au cœur, si grand et pur,
Contre qui on ne peu rien, c’est sa nature.

M’en viens à l’esprit un autre encore
Le grand ! le beau ! l’ultime ! Thor !
Qui de quelques paroles sait calmer
Tout un congrès survolté.

Mais qui ai-je donc pu oublier ?
Le fort, l’ultime bourike.
Sur qui j’écris ce petit vers,
Car il est connu de l’univers.

Par qui vais-je donc finir ?
Pour que ces verres n’ai rien à redire.
Oh ! Falmala la douce, la tendre,
Vous aime tous, n’allez pas vous y méprendre.

Afin de conclure ces citations
Et pour dire que de toute façon
Si l’on arrive à écrire en proses
Qu’importe les mots, c’est la plus belle des choses.

Invité d'honneur? Smile

wi invitée d'honneur...on définira plus tard à quoi ça correspond XD

Voilà une petite ode pour un jour spécial en l'honneur de notre Empereur Elendil...

Ces vers ont été effectués à 4 mains: à savoir par Van Fanelia et moi-même Cain...

Citation :: S'il existe bien un digne successeur de petitbeuh
Elendil est somme toute le plus valereux
Sachant montrer tantôt sa clémence
Tantôt, laissant cours à la violence

Il est le représentant du Saint Empire
Et nous nous devons de le servir
Mais c'est aussi notre mentor
Celui dont chaque parole vaut son pesant d'or

Fin tacticien il est un grand guerrier
Sachant diriger EDLM et autres VB
vers les plus hautes contrées, vers les plus beaux pays, vers les trésors infinis
Il nous emmène chaque jour, aux nobles causes sacrifie sa vie

Mais toujours il nous guette et nous protège
Tel que le ferait notre propre Père
Elendil, vingt-huit années de gloire
Des plus hauts sommets au plus profond des trous noirs
Mais toujours dans le respect d'autrui
Et des valeurs qu'on lui a transmis

Elendil, Empereur de ton rang
Nous t'aimons, nous vénérons ton sang
Puissent en ce jour tes années te servir
Puissions nous toujours te chérir
O noble empereur

voila, petit cadeau de cain et moi^^

Pour Van....................Vive la majoritée

Citation :: Dirigeant emblématique de l'empire, Beren fût son bourreau
Mais plus que quiconque il excèle dans les mots,
Le verbe haut, un langage sincère et l'orthographe impeccable
Correcteur sans pitié, il traque les fautes de manière redoutable.

Van est son nom, dix-huit ans est son âge
majorité atteinte, droit de vote et permis
sont l'apanage de sa toute nouvelle vie
nous te souhaitons donc plein de bonheur sans ombrage.

En espérant que tous tes rêves se réalisent
de la plus infime rêverie, à la plus haute ambition
Et que le plus doux des amours se révèle passion
et qu'il dure aussi longtemps que tu le désires.

Merci à toi d'être parmis nous.

PS: J'espère aussi que tu va pas trop éditer Laughing

EDIT FANELIA POUR LES FAUTES, BIEN QUE SUPERFLU

De l'air, pour emprisonner nos corps

Citation :: Nos blocs de béton
Nous enferment, nous capturent
On voudrait y enfermer la nature
Mais elle nous fuit

On part pour voir du paysage
Mais c'est le paysage qui nous voit
Les espaces sauvages où nous reposons
Sont vulgairement aménagés.

Moi je veux du soleil
Pour remplir mes vieux jours
Pour éclairer mes pas hasardeux
Pour dorer mon coeur meurtri.

Je veux la mer
Pour bercer mes longues nuits
Pour le lot de nouveautés
Qu'elle apporte à chaque marée
Pour les embruns éclaboussant le visage
Les soirs de tempête.

Moi je veux ton amour
Pour me blottir pres de toi,
Quand il fait froid
Et pour t'aimer toujours
Et voir ton sourire quand tu es heureuse
Sécher tes larmes lorsque c'est trop triste
Et t'aimer
Jusqu'au bout.

Je la connaîtrai à peine

Citation :: Je la connais à peine
Et pourtant je l’aime.

Je ne saurai définir
D’où vient ce désir,
Comment il a pu survenir
Et comment il a pu grandir.

Je ne l’ai jamais vue,
Je n’ai eu qu’un aperçu.
Mais son âme m’a obscurci la vue
Et depuis, l’amour m’est tombé dessus.

Hélas elle me l’a dit
Son cœur est déjà pris.
Hélas je m’étais dit
Pourvu qu’elle me dise oui.

Bientôt se lèvera le matin
Sans grand espoir je le crains,
Car je ne verrai ni ses yeux ni ses mains.
Cet amour est sans lendemain.

Je la connaîtrai à peine
Et pourtant je l’aime.

L'amour

Citation :: L'amour se laisse rarement attendrir,
L'amour je n'ai jamais su l'acquerir,
L'amour aujourd'hui je le vois partir.

L'amour me laisse souvent à la dérive,
L'amour en me voyant reste sur la rive,
L'amour en vers moi est d'humeur tardive.

L'amour dans mon coeur s'est arrêté,
L'amour jusque là a trop tardé,
L'amour chez moi a deserté.

L'amour est trop haut,
L'amour quand j'y pense me tiens chaud,
L'amour quand j'y crois m'est clos.

L'amour trépasse,
L'amour je m'en lasse,
L'amour me chasse.

L'amour me trouve barbare,
L'amour avec moi n'est pas bavard,
L'amour pour moi viendra plus tard.

Citation :: La vie est si triste parfois...
déchiré entre deux êtres
L'amour nous parle
De son malheur

On les entend les gens qui pleurent
Les humains qui dans leur coin
Meurent
Parce qu'ils oublient le lendemain

On se raccroche à notre branche
On cherche un vêtement assez étanche
Pour se protéger de nos larmes
Mais les larmes sont plus fortes :
Nous serons tristes

Et cette mélancolie qui nous berce
Nous reprend chaque jour
On n'échappera pas au destin
Ni à la mélancolie

Alors laissons-nous aller
Laissons la vie partir
Nous, on restera là
Quand il n'y aura plus rien
Que nous... Que nous...

fruits du cours de maths^^

Citation :: laisser sortir la violence enfouie depuis si longtemps dans mon corps, dans mon cœur
la laisser détruire sur mon passage tout ce qui m'approche
Pour entrer dans la Danse
Savourer doucement les rythmes engourdissants
puis lentement se laisser aller et libérer son corps
se laisser alors entraîner au rythme de la musique
Tourbillonner sans fin et toujours plus haut
entamer la fusion parfaite entre corps et esprit

n'être que lumière
Aveuglante
Et alors surgit dans le noir, les yeux étincelants
La haine à chaque coin du couloir
La violence qui se répand
Et lentement exécute les premiers pas de sa chorégraphie soigneusement étudiée

un pas un autre
un étoile de poussière qui vole dans un rayon de lumière
Et tout à coup

les sabres tournoient et les cheveux s'envolent
On coupe on tranche on fend on perce et on déchire
Systématiquement et sans faillir
Violence s'exécute, aveugle de ses victimes
et pourtant si précise
Alors on s'envole, pour échapper à ce qui nous terrifie
Et lorsque le calme revient, on soigne ses blessures...

Cela faisait longtemps que je n'avais plus écris. Il faut un début à tout, même s'il doit être travaillé.

Sous l'horizon du mur

C'est un mur gris
Quadrillé de stries noires,
Où les amours d'un soir
Se tissent avec symétrie.

Les corps emmêlés dans la suie
Se déploient sans pudeur,
Libres courbes et rondeurs
Aux pieds d'un mur sans vie ...

Les angles aigues, ciseaux
S'émoussant, rentrent dans la peau,
Grasse, pâle et crue. Les regards
S’abîment, s’entrecroisent au hasard.

Les mains pétrissent l’atmosphère,
Ciselant d’invisibles statues.
Elles se perdent dans la chair,
Creusant des sillons, des ombres et des rues.

Et dans la crispation étouffe un plaisir sale.
Deux mains comme des mâchoires de bêtes
Repliées, rassasiées, refermées en ovale.
Idylle borgne, morte née dans l’assiette.

Mon tout premier poéme Smile

Impuissance

Qui est cet homme abject
Qui, dans son discours abscons
Est prêt à se faire abnégation
Dans l'espoir d'une absolution ?

Cet homme, paraissant acariâtre
Bien que souhaitant se faire absoudre
Ne parvient qu'à ce faire abhorrer.

Seul, abandonné,
Ne réussissant à se faire entendre
Il se verra acculé et, malgré sa volonté,
Finira rejeté...

Super Gor, en plus les mots sont complexes...

puique on est dans la veine d'ecrire... voici un dernier poeme... sorti tout droit, d'un seul coup... Dites moi ce que vous en pensez !

Silencieuses Peurs

J'ai peur du froid
J'ai peur du Noir
Quand tu t'en vas
Seules restent en moi
Quelques douleurs éparpillées
miettes semées
Qui de joie étaient nées

j'ai peur face à son regard
Face à ses yeux vides, hagards
D'où l'on tire l'amour
A la sueur de nos fronts chaque jour
Et où la peur est gratuite
Dispersée par son regard en fuite

Alors comme toujours
Reviennent mes mauvais jours
Et je me recroqueville, me refuge
Plus forme qu'homme, contre mon mur blotti

J'attends que le temps passe
Que la colere tombe et efface
Les profondes cicatrices invisibles
Plus petit, enroulé sur moi-même
Pour oublier que j'étais sensible
Et contre mo je l'aime

Oh oui, je l'aime ma nuit, mon désespoir
Son sadisme et mes douleurs, ses rêves et mes cauchemards
Et puis j'aime pleurer sans savoir pourquoi
Seulement pleurer, pleurer pour moi

Tu prétends vouloir comprendre
Mais avant de poser les questions
Tu cherchais
A me frapper. A heurter. A blesser
Alors la pièce est jouée
Sans cesse tu reviens
Et je subis

Car je ne sais faire que ça
Subir, subir et subir
Souffrir et me regarder souffrir

Comme elle est loin ma bonne étoile
J'ai beau avoir suivi les yeux du chat
Dans le noir je me suis perdu
Je dois avoir dans mon errement
Heurté quelque lourd objet
Car je me suis blessé...

Il est tout simplement superbe Van !
J'adore Wink

Je suis entièrement d'accord avec Gor Very Happy

Superbe poème Van Fanelia!

Tous vos poèmes sont supers!

PS : mon premier post HRP! J'en profite au passage pour vous dire bonjour à tous et pour vous féliciter pour ce magnifique forum! J'adore Wink

L'Etoile-Phare

Marcher
Pour aller plus loin
Pour d'autre paysages
Pour ceux qu'on ne connaît pas
Sentir juste ses pas
Qui nous mènent plus loin
Loin du massacre
Loin de ce qui blesse
De ceux qui blessent
Juste s'éloigner

Vers ce point à l'horizon
Vers cette étoile
Qui chatouille nos yeux
Qui attire notre regard
Par ses lueurs d'espoir
Inatteignables.

Alors il s'épuise
L'homme qui dans son désert
Dans sa folie
A voulu croire à l'Etoile-Phare
Et se laisser guider par ses scintillements
Par sa lumière vacillante;
Et quand il tombe
Le visage brûlé de sel
Il disparaît
Abattu par son espoir irrationnel
Et le sable d'une tempête le recouvrira
Pour laver l'affront de l'homme qui a cru
Pour nettoyer le désert, parce qu'il a été sali
De ses espoirs perdus

Et quand il ne restera plus rien
Que le sable et le sel et le vent
L'Etoile-Phare sera toujours là
Brillant de ses feux
Pour naufrager d'autres marcheurs
D'espoir

Mais viendra un homme, plus lumineux que l'Etoile
Et alors il sera Phare
De ceux qui le suivent
Et lui, ne trompera pas, il guidera
Vers l'Oasis, vers la fraîcheur
Et deviendra, lui aussi, une Etoile-Phare
Au service des marcheurs d'Espoir.

Chapeaux bas Seigneur Van cheers

Citation :: Il est au monde un endroit sans faille
Un moment de lumière un rêve de silence
Ici, se perdent et se croisent les espoirs
des routes condamnées qui s'échouent en couloirs
C'est dans ces languiscantes mouvances
que le destin me jette où que j'aille
Et il est doux cet instant de candeur rendue
quand la nuit qui s'avance installe ses parfums
aux pourtours des solitudes. Les absences qui abondent
ces vides autour des yeux, ces errances du bout des mondes
ces cellules froides où l'amour reste à jeûn,
Ces prisons ont pour moi le goût de ce qui fut

Je suis un puit dans la plaine de l'oubli
Un univers caché au fond d'un mot dit.

Citation :: Elle a oublié de souffrir
rangé ses mauvais souvenirs
et garni ses lèvres d'un peu
d'enfance. Comme au plus bleu
de son histoire, chacun des
rires crevant l'ennui, des
pantins vides, tristes s'agitent
regrettant qu'il faille si vite
regretter. De la lumière au coin
des yeux, elle s'échappe, au loin
accrochant aux mémoires mâles
la douceur d'un matin pâle.

Et je reste assis au bord des douves
d'un cgateau clos qu'à trop pleurer
je n'entends plus que murmurer
ma sourde angoisse que rien ne prouve.

Citation :: Il est sûrement plus sage
D'écarter de nos âges
ces longs, beaucoup trop longs
Espoirs qui fanent et font
De nos jours d'aimables
Discours à des tables
Ignorées sur des plages
Tristes et bien dommages.

Car au détour de ces
Noces malades, c'est
Bien nos doutes que nous
Trahissons. Et ne vous
Déplaise, le bonheur
Que défont les heures
N'était que le décès
Annoncé d'un excès

Pouvoir n'est qu'Avoir déguisé en Vouloir.

Superbe Odon...

J'aime particulièrement la strophe de cloture, la finesse du jeu de mots y est admirable !

Changements

Nos coeurs ont changé, nos yeux se sont durcis,
Nous avons appris à ne pas regarder le jour, l'homme qui sourit
Nous avons appris à marcher la tête penchée
Sur nos pas, nos soucis et nos pensées

Et nos portes se sont fermées
Et nous sommes tous rentrés
Comme éreintés par le travail accompli
Nous nous sommes endormis

Sans penser
Au voisin
Sans se soucier
De demain

Nous avons perdu beaucoup trop.