Mouais ... ça peut aller ....
C'est une monarchie élective que tu nous décris là.
Sauf que roi devient Sage, mais monarque quand même.
D'abord les dictateurs ne sont pas tous des non-sages...
Il existe dans l'histoire de l'Europe, une période relativement courte caractérisée par des Rois et Reines fortement imprégnés par les philosophies des lumières: on les appelait les Despotes éclairés.
Leur devise: Tout pour le peuple, rien par lui...
Tout un programme.
Ensuite, l'éventualité de placer un sage à la tête d'un groupe humain relève en effet de l'entreprise "mission impossible".
Quels critères pour le choisir?
Quel contre-pouvoir?
Comment lui succéder?
Alors qu'un groupe de sages, c'est déjà plus meilleur comme bruit dans la bouche.
Et pourquoi ne pas créer un conseil ... provisoire.
En effet, nous sommes d'accord sur le fait que les critères de choix sont impossible à déterminer de façon objective.
Dès lors, on pourrait imaginer que chaque habitant serait amené à faire partie, pour une durée déterminée et égale pour tous, de ce conseil.
En effet, ce système a pour avantage de faire en sorte que ceux qui exercent le pouvoir à un moment donné ne perdent jamais de vue qu'ils sont là provisoirement. Ainsi, on réduit considérablement le risque d'un abus de pouvoir.
Ce système est corruptible.
En effet, il est évident que dans 'ombre, des personnages aux dents longues pourraient entretenir une "cour" qui auraient des parisans dans le conseil de façon continuelle.
Comment éviter cet écueil?
Oups! On retombe sur la séparation des pouvoirs...
Mince c'est inscrit dans la démocratie ça!
Il faudriat donc un contre-pouvoir hors de portée de ce type de manoeuvre.
Imaginons un contre-pouvoir informatique, qui, quand il analyse des données qui font références à des situations telles que celles-là, émet un genre de veto. Bloquant ainsi toute possibilité de poursuivre une gouvernance télécommandée depuis l'extérieur.
Bon là, je suis trop fatigué pour poursuivre mais j'ai plein d'idées qui me chatouillent la tête.
P.S : merci Van