[RP] Petites pensées près de l'Arbre d'Elendil...

Bien Alathanyël, à présent que je sais qui tu es... Acceptes-tu de nous mener au gré de tes envies?

L'animal semble acquiesser de la tête...

Caïn grimpe donc sur l'animal et tned une main vers sa compagne du moment...

Si la belle et douce créature face à moi veut bien me faire le plaisir de donner sa main...

Caïn sourit de ce lapsus provoqué et calculé...

Viens ma douce, allons parcourir d'autres lieux...

*Falmala esquissa un sourire amusé après les lapsus du seigneur Cain. Elle secoua doucement la tête et poussa un léger soupire. Puis elle fit une petite révérence devant le seigneur et sa monture et tendit une main gracieuse a l'elfe.*

- Ce serait un plaisir que de vous accompagner lors de ce voyage vers l'inconnu mon cher Cain.

*Elle se hissa sur le dos de la licorne et se blottit entre les bras du chevalier tout en glissant ses doigts dans la crinière de la bête.*

- Je suis toute a vous mon cher....

Ils partirant donc à dos de cet animal mystique... Ensemble ils découvrirent des contrées que la Sénatrice n'avait jamais vu...

Ils s'arrêtèrent après 1 heure de chevauchée à proximité d'un champ de fleurs sauvages ressemblant à des coquelicots multicolores... En s'approcahnt Falmala fut émerveillée car en fait sur chaque fleur , par mimétisme, se trouvait un papillon de la couleur de la fleur... Et en s'approchant le couple se trouva entouré d'une myriade de papillons... Ils se trouvaient dans un rêve éveillé...

Falmala, ma douce, celle que je ne puis oublier... Chaque fois que je suis avec toi, je suis envahi de mille pensées, de milliers de pulsions, mais je suis aussi tant serré intérieurement...

L'heure est relativement importante pour moi, et j'ai fais un choix fort bizarre au premier abord... Si tu acceptes... Si tu veux bien essayer qu'ensemble nous ne formions plus qu'une entité, j'aimerais te suivre où tu iras...

*Falmala était abassourdie par ce qu'elle venait d'entendre. Son coeur battait la chamade et autour du couple les papillons voletaient dans un arc en ciel de couleurs. Tout semblais figé sur l'instant.*

- Me suivre ?..... mais nous ne sommes pas du même lieu et tu as ton peuple a guider .....

*Elle esquissa un doux sourire.*

- Mais quel serait le bonheur de te savoir non loin de moi a n'importe quel heure de la journée.

*son regard se perdi quelques instants dans la pleine fleurie. Une sensation de chaleur se dégagait d'elle. Quelque chose d'agréable et d'appaisant.*

C'est relativement simple...

Acceptes-tu que nous vivions ensemble, non séparés l'un de l'autre?

Je suis prêt à faire les sacrifices nécessaires...

Intérieurement Caïn savait qu'il allait devoir faire des choix cruciaux...

*Falmala eu un espece de hoquet de surprise. Et un grand silence se fit. On ne pouvais pluqu entendre le vent siflant dans les hautes herbes et le doux machouilli de la licorne qui se trouvais a quelque mètres de la.*

*Un gros sourire se fit sur ses lèvres, ses yeux s'illuminèrent puis son regard s'atrista a nouveau.*

- Je ne peu pas exiger une telle chose de toi ... ton peuple a besoin de toi ...
Cela serait merveilleux de t'avoir a mes cotés mais que de sacrifices pour en arriver la ....

Caïn semblait perdu dans ses pensées... C'était le cas... Puis il revint à lui...

J'ai fais mon choix Falmala. Le temps est venu pour moi et toi si tu acceptes de sceller nos vies !

Accompagne moi sur Polaris je te prie, je dois leur parler à tous !

*Falmala resta silencieuse et surprise. Elle glissa sa mains dans celle de Cain et hocha la tête doucement.*

- Je vais te suivre ... et je t'accompagnerais. Quelque soit le choix que tu as fais.

[HRP] La suite chez les POLARIS [/HRP]

Alors que le bruit de leurs pas s'effaçaient sous les caresses du vent, un bruissement étrange et familier se fit entendre.

Au pied d'un saule plusieurs fois millénaire, une silhouette diffuse se profila jusqu'à devenir l'image d'un homme courbé.

A la douleur de l'absence, s'ajoute celle de ne pouvoir laisser s'écouler par mes yeux le trop plein de chagrin...
Comment fais-tu, vieillard vénérable, pour assister sans frémir aux traitrises du temps?

Comment fais-tu, toi le témoin silencieux, pour garder sèche ton âme meurtrie par les départs innombrables?

Je suis venu sous la cape du vent, remplir mes narines de ces senteurs si légères : l'amitié, l'honneur, le courage, la beauté.... et vois ce que le destin me donne en pâture!

Je suis témoin d'un futur que j'aurais dû ignorer. Mes chères âmes ... qui tristement s'éloignent, comme le crépuscule pousse vers l'obscurité les rires effrénés d'une après-midi d'été.

L'ombre se figea soudain.

L'arbre lui répondait.

Ne regrette pas les larmes, petit mortel.
Je ne sais par quel enchantement l'on t'a libéré de ta retraite, mais sache qu'en toute chose est gravée ce refrain :

"Le Laurel verdégéo"

Apprends du temps qui passe sans le mépriser. Apprends de lui et tu comprendras.

» Les desserts et petites douceurs de Mata Hari